Le dernier éditorial du magazine DIAPASON - signé par Jean-Marie PIEL, son rédacteur en chef - relance la question (toujours pertinente, car sans issue apparente) de la crise du marché du disque. A un moment donné, l´auteur en propose une solution : « Baisser le prix du disque est une bonne réponse à la crise et, accessoirement, à l´essor de la copie privée. Encore faut-il que cette baisse soit significative.».
Bien que la mise en place de cette politique ne soit pas évidente, le label NAXOS en est un remarquable exemple de succès ! Effectivement, les chiffres de cet éditeur ne cessent jamais d´augmenter, malgré le climat de crise dans lequel nous sommes plongés, depuis des années ! Il faudra souligner que, chez NAXOS, le choix, soit des interprètes, soit des compositeurs, n´est pas soumis a un esprit strictement commercial, comme c´est le cas d´autres labels, bien plus réputés en matière de qualité.
Bien que la mise en place de cette politique ne soit pas évidente, le label NAXOS en est un remarquable exemple de succès ! Effectivement, les chiffres de cet éditeur ne cessent jamais d´augmenter, malgré le climat de crise dans lequel nous sommes plongés, depuis des années ! Il faudra souligner que, chez NAXOS, le choix, soit des interprètes, soit des compositeurs, n´est pas soumis a un esprit strictement commercial, comme c´est le cas d´autres labels, bien plus réputés en matière de qualité.
De ma part, cet exemple devrait faire l´objet d´une profonde réflexion !
2 comentários:
De plus Naxos a su utiliser internet pour la difusion de ses enregistrements. La compagnie a une web radio et donne accès en ligne aux fonds de son catalogue (tout entier!) par 20 $ annuels.
Ça c'est important aussi.
Outra questao interessante e polémica que é colocada por Piel é o facto dos CD's de baixo preço (séries mid price etc) serem geralmente de artistas já há muito consagrados e que, de alguma forma, já ganharam o que tinham a ganhar. Os CD's em full price ficam assim para os novos talentos. Ora isto, segundo me parece, e ao contrário da lógica das editoras, "corta as pernas" aos novos talentos dada a tao falada crise de vendas. Ou será que não?
Quanto ao caso da Naxos, é realmente curioso o sucesso desta editora, sobretudo a forma como consegue promover as vendas atraves da Naxos Web Radio que a um preço módico (9,5? por ano)dá a conhecer via web radio as suas gravaçoes.
Leporello
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