(Robert Lepage)
A escassas semanas da estreia da nova produção de Der Ring, encomendada pelo Met a Robert Lepage, eis que o encenador levanta a ponta do véu. Do dispositivo sofisticado e complexo, já todos sabiamos...
Agora, impacientemente, aguardemos!
«L'été 2010 de Robert Lepage aura été studieux. Quelques semaines après le succès, au Festival d'Aix-en-Provence, de son spectacle Le Rossignol et autres fables, créé à Toronto en 2009, et repris à l'Opéra de Lyon du 12 au 21 octobre, le metteur en scène canadien a enchaîné avec les premières répétitions scéniques de la Tétralogie de Richard Wagner, qu'il règle pour le Metropolitan Opera de New York (Met).
Le budget de l'opéra new-yorkais a connu de sérieuses coupes depuis la crise financière internationale, mais Peter Gelb, son directeur, n'a pas hésité à engager cette dépense imprévue, dont il n'a jamais dévoilé le montant mais que le New York Times estime à au moins 125 000 dollars (environ 99 000 euros) : "Cette nouvelle production est l'une des plus ambitieuses qu'ait connues la maison. Je suis certain de son succès et que c'est le type même d'invention scénique dont Wagner aurait été fier !", nous a confié M. Gelb au cours de la première répétition technique au Met, le 10 août. Quelques jours plus tard, les chiffres de la location lui donnaient raison : les représentations de L'Or du Rhin étaient complètes et la billetterie battait tous les records.
Car, en effet, Robert Lepage (qui est aussi acteur, plasticien et cinéaste) est connu pour la haute technicité et le langage multimédia de ses spectacles. Mais qu'il travaille pour le théâtre ou l'opéra, pour le chanteur Peter Gabriel ou la troupe du Cirque du Soleil, le metteur en scène n'a qu'un seul credo : "Raconter des histoires avec le langage de la modernité."
La Damnation de Faust, d'Hector Berlioz, présentée à l'Opéra de Paris en 2001, était un exemple extraordinaire d'artifice onirique. A l'occasion des reprises de ce spectacle, au Met, en 2008 et 2009, Lepage avait modifié sa mise en scène au gré des progrès techniques.
Il rappelle un autre credo qui lui est cher : "Il ne faut jamais oublier que l'origine du théâtre, c'est un récit autour d'un feu, et la découverte d'ombres chinoises sur les murs d'une caverne. C'est aussi simple et aussi beau que cela." Nul doute que la caverne de Fafner le dragon ne ressemblera à aucune autre, et qu'on n'y verra que du feu.»
2 comentários:
Não desvenda véu nenhum. Só enrola. A isso já tinha eu chegado com o filme só e algumas outras informaçõezitas.
Perfeitamente de acordo, Plácido Zacarias. Um dos Hot Tickets da Next Season é sem dúvida nenhuma o Ring LePage at the Met. Como tal, o segredo do sucesso da produção é a alma do negócio ( DVDs que, de certeza, se anunciam) e não se pode estar a “levantar o véu” na sua totalidade. Portanto, há que entreter o povo com muito Blá, blá, blá, blá…
Tem toda a razão, Plácido Zacarias. Mais um artigo que não diz mais nada daquilo que já sabemos.
LG
P.S. A despropósito… ou a propósito. :-) Estive agora no Site da Calouste Gulbenkian e surge-me a informação de que Lisboa também vai, a partir de agora (?), ter acesso às Transmissões televisivas Live From the Met in HD e que estas serão transmitidas no Grande Auditório da Fundação. Boa, sim Sra., até que enfim!... :-) … e o preço dos Bilhetes é… :-?
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